Les feuilles mortes

Ao pesquisar Prévert, reencontrei um poema , uma voz e uma música que me transportaram para longe...

Poema de Jacques Prévert, música de Joseph Cosma, interpretação de Yves Montand...
Intemporal!



Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-la la vie était plus belle,
Et le soleil plus brulant qu'aujourd'hui
Les feuilles mortes se ramassent a la pelle
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent a la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.

C'est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.

Les feuilles mortes se ramassent a la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidele
Sourit toujours et remercie la vie
Je t'aimais tant, tu étais si jolie,
Comment veux-tu que je t'oublie?
En ce temps-la, la vie était plus belle
Et le soleil plus brulant qu'aujourd'hui
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais
Toujours, toujours je l'entendrai!

C'est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.

Conta-me como foi... (2)

Praia dos Olhos de Água, 1967...por aí.
Pois é... estou naquelas fases em que o baú das recordações chama por mim e lá vou eu chafurdar. Gosto especialmente dos chapéus. Eu não usava bikini às bolinhas, mas o meu fatinho de banho amarelo tinha uns folhinhos muito giros na parte de trás.

Conta-me como foi...(1)

Encontrei há dias, no album mais velhinho cá de casa, umas fotos de praia, em família...e ao lado das minhas primas que posavam, deitadas na areia, para o fotógrafo, lá estava ele...o colchão do Tulicreme. Já nos idos anos 60/70 as marcas brindavam os seus consumidores com prémios...

Que saudades...

1, 2, 3...testando

Isto de iniciar um blog, está-me a custar um bocado.
Nunca mantive um diário. Então o que é que me está a dar agora???
O que é que eu virei para aqui "postar"?
Se eu conseguir passar da fase do teste, então aviso-vos. Pode ser que isto dê nalguma coisa.
Senão, também não se perde muito. Será só mais um sítio fantasma na rede.